
N’attendez pas pour acheter l’immobilier, achetez l’immobilier et attendez.
T. Harv Eker
Acheter 10 – 20 – 30 % moins cher votre bien immobilier
Comment utiliser Castorus pour trouver les meilleures opportunités immobilières ?

Étape 1 : Créer un compte
Tout d’abord, rendez-vous sur Castorus et créez votre compte. (Flèche verte)
Étape 2 : Rechercher un bien
- Indiquez la ville où vous cherchez un bien et cliquez sur « OK » (flèche jaune). Vous arriverez sur une page affichant les prix de l’immobilier pour la ville sélectionnée (par exemple, Nangis).
- Consulter les prix :
- Les cases bleues affichent les prix au m² en moyenne pour les maisons, appartements et terrains (flèche rouge).
Étape 3 : Explorer les bonnes affaires
En dessous, la section « bonnes affaires » présente :

- Les prix des biens à vendre : (flèche bleue)
- Les prix en noir indiquent les biens sans changement de tarif.
- Les prix en vert montrent les biens dont le tarif a baissé.
- Détails des biens : Chaque colonne montre : (flèche bleue)
- Le nombre de pièces.
- La superficie.
- Le type (maison ou appartement).
- Depuis combien de temps l’annonce est en ligne.
- L’évolution du tarif (en baisse ou en hausse).
- Le prix au m².
Étape 4 : Trier les résultats
- Cliquez sur l’en-tête de la colonne « Évolution » (écrit en bleu) pour trier les biens par baisse de prix (flèche violette).
- Vous pouvez aussi trier par date, prix, m², etc. selon vos préférences.
Exemple pratique
Prenons un exemple :

Vous arriverez sur une nouvelle page où vous pourrez constater : (flèche orange)
- Le prix initial au 10/10/2023 était de 220 000 €.
- Le prix actuel à la date où je réalise cet article est de 199 000 €.
Étape 5 : Consulter l’annonce
Sur le côté droit, cliquez sur « Cliquez ici pour consulter l’annonce » (flèche grise).
Vous accéderez alors à toutes les informations du bien : (flèche noire)
- Photos.
- Coordonnées.
- DPE (Diagnostic de Performance Énergétique).
- Frais d’agence.
- Frais de notaire, etc.
N’hésitez pas à descendre sur la page de l’annonce pour découvrir toutes les informations utiles (flèche noire).
Ce guide vous aidera à naviguer sur Castorus et à trouver les meilleures opportunités immobilières.
Bonne recherche !
Ma belle semaine de musée
Après avoir arpenté le sud de Ploërmel sans succès la semaine dernière, nous avons décidé de déplacer notre champ d’exploration vers le nord. Première halte à Gourhel, où, coïncidence amusante, nous tombons sur un restaurant nommé « Au P’tit Paris ». Un clin d’œil à notre résidence actuelle, « Le Petit Paris » ? On n’a pas pu s’empêcher de sourire. Nous poursuivons notre route vers Campénéac, un charmant petit bourg avec, incroyable mais vrai, un restaurant qui pourrait bien devenir notre future cantine, et un lac parfait pour de belles promenades digestives.
Ensuite, cap sur Augan… Pas vraiment notre style. Même constat pour Porcaro, qui n’a pas su nous séduire. Nous avons clôturé cette journée de visites à Guer, qui, sans mauvais jeu de mots, nous a fait un certain « Guer effet ». Côté agents immobiliers ? Ils brillent toujours par leur absence, donc nous continuons notre quête en solo.
Le dimanche, direction Mauron, à 20 km au nord de Ploërmel et 50 km de Dinan. Un petit bourg plein de charme, avec des commerces, un marché, une crêperie recommandée par le Gault et Millau, et même une maison qui a piqué notre curiosité. Ni une ni deux, nous laissons un message sur le répondeur de l’agence.
Lundi matin, opération « appels à tous les favoris » sur Le Bon Coin. L’un d’eux, à Mauron, nous rappelle avec un franc-parler déconcertant : « La maison que je vends ? Eh bien… c’est un coin où ça pue. Visite inutile ! » Bon, au moins, on ne pourra pas dire qu’on n’a pas été prévenus !
Enfin, à 10h, nous avions rendez-vous à Malestroit. Quartier Madeleine, super emplacement… mais là, surprise ! L’ascenseur pour accéder aux étages, une disposition des pièces qui défie toute logique, et un jardin qui, tenez-vous bien, se trouve devant la maison du voisin. On se demande si l’architecte n’a pas dessiné ça en pleine troisième mi-temps. Next !
Après une matinée émaillée de découvertes épatantes, nous avons décidé de prolonger notre périple le long du canal « De Nantes à Brest ». Première escale : Saint-Laurent-sur-Oust, où nous avons été accueillis par des maisons pittoresques et un vent de fraîcheur. Nous avons ensuite fait un saut à Saint-Congard et Saint-Gravé, deux villages charmants mais qui n’ont pas réussi à nous faire battre le cœur plus fort.
C’est le moment de faire demi-tour ! Nous prenons la direction opposée le long du canal, avec une promesse de renouveau. Nous avons découvert Val d’Oust et puis Montertelot… et là, oh miracle ! Montertelot nous a offert un petit coin de paradis presque hors du temps. Le lieu semblait nous murmurer « Vous êtes arrivés ! » et nous avons commencé à envisager que notre quête touche enfin à sa fin.
Mais attendez, ce n’est pas tout ! À Montertelot, nous avons découvert des ballades à perte de vue le long du canal. Les chemins bordés de verdure, les reflets scintillants sur l’eau, et les oiseaux qui chantent en chœur créent une atmosphère féérique. On aurait dit que chaque tournant du chemin nous offrait un nouveau tableau de la nature en parfaite harmonie. C’était tellement idyllique qu’on a presque oublié nos recherches.
Mais, comme dans un film avec des rebondissements, le suspense n’était pas fini : la N166, voisine indésirable, se rappelle à notre bon souvenir. Avec son bruit omniprésent, elle a fait l’effet d’un tambourin sur notre tranquillité. Nous n’avons donc pas trouvé la perle rare, mais au moins, on a eu droit à un magnifique décor pour notre quête ! Et pour tout dire, ces ballades nous ont bien fait réfléchir à notre prochain itinéraire.
L’après-midi a été plus doux, passée chez des amis à Saint-Abraham, dans une jolie campagne, parfaite pour des retrouvailles estivales. L’hiver ? On préfère ne pas y penser pour l’instant !
Mardi matin : Visite d’une maison… ou retour au « Fougilet » ?
Nous voici au 33 rue Saint Denis, Ploërmel. Un agent immobilier a enfin donné signe de vie – alléluia ! On part donc pour la visite, un brin curieux. Bon, on nous avait prévenu que la maison était « dans son jus », mais en entrant dans la cuisine… flashback instantané : c’est « Le Fougilet » tout craché ! Même configuration, même ambiance rétro, il ne manque plus que l’odeur des souvenirs d’enfance.
À droite, une enfilade de petites pièces : salle à manger, salon et chambre, façon Tetris immobilier. Il y a même un combo toilette/salle de bain qui pourrait dater de la même époque. En montant à l’étage, deux chambres et un grand grenier, la touche finale. Si on ferme les yeux, on pourrait presque être de retour en Bourgogne.
Le jardin ? Ah, la jungle ! Le Fougilet aurait presque des complexes devant cette forêt vierge. Et tout au bout, le fameux garage à la « Jean-Luc » entièrement construit de bric et de broc (celui-là, il est intemporel).
En résumé ? Un voyage dans le temps, une maison jumelle du Fougilet… mais côté travaux, c’est toujours l’Everest. Résultat : Next !
En tant que futurs investisseurs immobiliers, nous avons entrepris ce voyage avec une grande dose d’enthousiasme. Nous avons étudié les techniques, analysé les tendances, et pourtant, malgré toutes ces démarches, nous avons découvert que ce domaine n’était pas le nôtre. Cette expérience nous a appris une leçon précieuse : l’investissement n’est pas une science exacte, mais un voyage personnel unique.
L’investissement se décline en plusieurs grands piliers : l’immobilier, la bourse, l’entrepreneuriat, et bien d’autres encore. Chaque domaine possède ses propres caractéristiques et exigences. Par exemple, l’immobilier demande une grande patience et une gestion rigoureuse des biens, tandis que la bourse exige une capacité d’analyse rapide et une tolérance au risque élevée. L’entrepreneuriat, quant à lui, requiert une créativité sans bornes et une résilience face aux défis quotidiens.
Votre choix d’investissement doit se baser sur ce que vous ressentez au plus profond de vous. Peut-être êtes-vous attiré par l’immobilier parce que vous aimez la stabilité et la gestion de projets concrets, ou bien la bourse vous intrigue avec ses fluctuations rapides et son potentiel de gains élevés. Peut-être êtes-vous un entrepreneur dans l’âme, avide de créer et de diriger vos propres projets.
L’essentiel est de trouver le domaine où vous vous sentez le plus à l’aise, où vous pouvez exploiter pleinement vos talents et où vos émotions sont sous contrôle. Ne vous laissez pas décourager par les défis ; chaque pilier d’investissement a ses propres défis, mais aussi ses propres récompenses.
N’attendez pas demain pour faire le premier pas. Le moment idéal pour commencer est maintenant, car chaque jour perdu est une opportunité qui s’évapore. Alors, choisissez avec soin, investissez avec passion, et lancez-vous dès aujourd’hui !!
Ça y est, étape suivante, retour en Seine-et-Marne, avec un petit détour chez nos amis géorgiens (Gamardschoba! Bonjour en géorgien !). Restez connectés, l’aventure n’est pas encore finie !
Deux Semaines avec Belle-Maman : Le Feuilleton Inattendu d’une Grande Dame
Quelle aubaine cette semaine ! Ma belle-mère, cette grande dame de la routine matinale, m’a fait le plaisir de me demander s’il y avait un article sur elle sur mon blog. « Non », lui ai-je répondu, avec une petite touche de mystère. Mais voilà, une inspiration soudaine m’a poussée à lui rendre hommage à ma façon. Préparez-vous pour une immersion dans la vie trépidante de ma belle-mère, un véritable feuilleton à elle toute seule !
Le matin chez elle commence à l’heure où le soleil hésite encore à se lever, entre 08h00 et 08h30, avec la précision d’un horloger suisse. C’est le grand moment où, armée de son réveil bruyant, elle se précipite vers la cuisine pour préparer le petit-déjeuner. Mais non, elle ne va pas s’adonner à une séance de yoga matinale ou courir dans le jardin. Son rituel, c’est plutôt de foncer chercher le journal Ouest France. Une fois le précieux quotidien en main, c’est la cérémonie : un petit café à la chicorée, ce “café des vieux” comme on dit chez nous, et elle attaque les gros titres en diagonale. Le véritable suspense, c’est la page obsèques. Qui est décédé aujourd’hui ? Les voisins, les amis, la boulangère ? La page des décès semble être la plus attendue, comme si elle était la clé pour découvrir les dernières nouvelles du quartier. Un abonnement au journal pour consulter cette page, c’est un peu comme consulter un horoscope quotidien, non ?
À 10h30, commence la préparation de sa grande transformation. Mais ne vous y trompez pas, c’est à 11h30 qu’elle est réellement prête. Dans sa salle de bain, elle ne se voit pas, donc direction le plan de travail de la cuisine, et là, nous avons une vue panoramique sur son rituel de beauté. Avec les crèmes antirides sur le visage, on pourrait presque exposer le tout comme une œuvre d’art moderne. Un spectacle inoubliable pour ceux qui osent jeter un coup d’œil.
À midi, c’est l’heure du grand festin. Mais avant le repas, place à l’apéritif ! Un Kir, c’est-à-dire du cassis mélangé à du vin blanc, est incontournable. Accompagné de saucisson, chorizo, chips et autres délices diététiques, l’apéritif est une cérémonie en soi. Pendant que je m’affaire en cuisine, elle déguste son Kir comme une véritable connaisseuse. Le repas est ensuite un chef-d’œuvre gastronomique, où elle se régale avec l’appétit d’un explorateur revenu de dix jours sans nourriture. Et bien sûr, un petit coup de rouge pour finir, parce que, comme elle le dit, seule à la maison, c’est différent… sauf pour le Kir, ça, c’est sacré !
Mais parlons maintenant de la fameuse liste de réparations dans la maison. Ce n’est pas une simple liste, c’est un roman en dix-huit volumes. Je me transforme en tout corps de métier, avec ma belle-mère en inspectrice des travaux finis. Chaque détail est scruté comme s’il s’agissait du dernier cri de la technologie. Quand elle inspecte, c’est comme avoir le meilleur expert en travaux publics sur le terrain !
Et vous pensiez pouvoir vous reposer après tout ça ? Détrompez-vous ! Il y a toujours une nouvelle tâche : faire les courses, préparer le dîner, sortir les poubelles, j’en passe et des meilleures.
Les émissions de politique et les nouvelles du monde défilent en boucle, et je commence à comprendre pourquoi elle consulte les pages d’obsèques dès le matin : il faut être au courant pour commenter les nouvelles du jour !
Il y a un rituel fascinant entre ma femme et sa mère au téléphone quand elle sont à distance : elles se racontent huit fois la même histoire, toujours racontée avec la même fraîcheur comme si elle était entendue pour la première fois. Un chef-d’œuvre de répétition qui pourrait faire rougir les meilleurs dramaturges.
En conclusion, ma belle-mère est un personnage à part entière : l’experte en questions intrusives, la championne des “hum hum” incompréhensifs, elle est une pièce maîtresse de la comédie domestique. Elle est un concentré de rituels, de traditions, et de petites manies qui font d’elle un personnage inoubliable.
Alors, chers lecteurs, ne soyez pas jaloux ! Vous aussi, vous méritez une belle-mère aussi unique et mémorable.
Avec elle, chaque jour est une nouvelle aventure, une comédie quotidienne pleine de couleur et d’amour.
Agent immobilier : l’ami ou le piège doré ? L’histoire de Clémentine, qui a repris le contrôle.
Lorsqu’on cherche à vendre sa maison, la première personne à laquelle on pense est souvent l’agent immobilier. Pourquoi ? Parce qu’il est partout, comme une ombre qui nous suit, nous murmure à l’oreille, et nous fait croire que sans lui, on est perdu. Peut-être que des figures médiatiques comme Stéphane Plaza nous ont bien formatés, ou qu’un ami, un cousin, ou un collègue connaît un « super agent immobilier ». Quoi qu’il en soit, une fois que l’agent immobilier est dans la boucle, il devient difficile de s’en débarrasser. Mais que cache réellement cette omniprésence ?
L’histoire de Clémentine illustre parfaitement cette situation. Clémentine est une femme pleine d’énergie et de rêves qui décide de vendre sa maison pour commencer un nouveau chapitre de sa vie. Elle a investi temps, amour et argent dans son petit cocon, et maintenant, elle est prête à le transmettre à quelqu’un d’autre. C’est là que Lucas, l’agent immobilier, entre en scène. Le parfait gentleman, sourire aux lèvres, tablette en main. Derrière ce sourire charmeur, que se cache-t-il vraiment ?
Clémentine, enthousiaste, accueille Lucas avec l’espoir qu’il va l’aider à vendre rapidement et au meilleur prix. Après tout, c’est un professionnel, et il a cette réputation d’être « le meilleur ». Lucas commence par flatter Clémentine : « Votre maison est magnifique, un vrai petit bijou ! Elle va se vendre en un clin d’œil. » Clémentine, rassurée, se dit qu’elle est entre de bonnes mains. Mais Lucas, tout en douceur, commence à ajuster son discours : « Mais pour cela, il faudra peut-être revoir le prix. Vous savez, le marché est un peu compliqué en ce moment… » Et voilà, le doute s’installe.
Soyons clairs : l’agent immobilier est avant tout un vendeur, et le produit qu’il vend, c’est vous. Lucas arrive avec sa tablette, lance un logiciel « miracle », et en quelques clics, la maison de Clémentine est estimée. Il vante les mérites de son bien, la rassure, puis… vient le coup de poignard subtil : « Mais il y a quelques ajustements à faire… » Et là, il commence à éroder ce qu’elle pensait être son petit coin de paradis. Trop chère, mal placée, trop vieille… Chaque critique lui fait douter, et soudain, ce cocon douillet devient un fardeau à vendre. Pourquoi tout cela ? Pour une seule raison : sa précieuse commission !
Et cette commission, parlons-en. Ce ne sont pas des miettes qu’il demande, oh non ! En général, l’addition s’élève à 5 %, mais elle peut grimper jusqu’à 7 %, 8 %, voire 9 % du prix de vente. Imaginez un instant : Clémentine vend sa maison 200 000 €, un joli petit pactole. Mais attention, avant de se réjouir, il va falloir déduire ces fameux frais d’agence. Si Lucas prend 7 %, c’est 14 000 € qui s’envolent directement dans sa poche. Pour 9 %, c’est carrément 18 000 € ! Une somme rondelette, surtout si Clémentine a fait tout le travail.
Et si Clémentine a signé ce fameux contrat d’exclusivité, elle est piégée. Même si elle trouve elle-même un acheteur, elle est obligée de passer par Lucas pour finaliser la vente. Résultat, elle fait tout le boulot, et c’est lui qui encaisse la commission. 18 000 € pour un coup de fil ou un échange de mails ! Et Clémentine, dans tout ça ? Elle se retrouve à travailler pour lui, à payer pour un service qu’elle n’a pas vraiment reçu. Pas de quoi sauter de joie, non ?
Pendant ce temps, si Lucas n’arrive pas à vendre rapidement, il trouvera toujours une excuse : le prix, l’état du marché, le voisinage… mais ce ne sera jamais sa faute. Pendant ce temps, la maison de Clémentine reste sur le marché, elle perd du temps, et parfois même de l’argent. Mais une chose est sûre : Lucas, lui, ne perd jamais de vue sa commission.
Clémentine commence à s’inquiéter. Elle voit son rêve de déménager s’éloigner et l’inquiétude s’installer. Elle s’interroge : « Mais pourquoi Lucas n’arrive-t-il pas à vendre ma maison ? » Elle se rend alors compte d’une chose : si elle trouve elle-même un acheteur, elle devra quand même payer Lucas ces 5 %, voire plus, même si c’est elle qui a tout fait. Pour une maison à 200 000 €, c’est entre 10 000 et 18 000 € qui sortent de sa poche, pour quoi ? Pour quelques visites et des excuses. Cette somme pourrait être le budget pour ses prochaines vacances ou pour son projet de nouvelle maison, et pourtant, elle partirait directement dans la poche de Lucas.
Alors, comment éviter ce piège ? Dites non à l’exclusivité ! Clémentine se renseigne, se documente, et réalise qu’il existe une autre manière de faire. Elle découvre que le contrat d’exclusivité n’est pas une obligation et qu’elle aurait pu choisir un contrat simple, qui lui aurait permis de vendre sa maison elle-même, sans être coincée. Elle réalise aussi que si elle avait pris cette option, elle aurait pu économiser cette fameuse commission et garder dans sa poche ces milliers d’euros.
Finalement, Clémentine décide de reprendre les choses en main. Elle se libère du contrat d’exclusivité, discute avec Lucas pour passer à un contrat simple. Et là, tout change. Clémentine retrouve sa liberté, elle gère elle-même les visites, elle met en avant les atouts de sa maison, et en quelques semaines, elle trouve un acheteur. Et le meilleur dans tout ça ? Elle garde pour elle les 10 000 ou 18 000 € qui auraient dû finir dans la poche de Lucas.
Et Lucas, dans tout ça ? Eh bien, Lucas a compris que Clémentine n’était pas une simple cliente. C’est une femme qui sait ce qu’elle veut, et qui a décidé de ne plus se laisser manipuler. Clémentine a pris le contrôle de la situation, et maintenant, elle peut enfin tourner la page, avec un peu plus d’argent en poche et beaucoup moins de stress.
Alors, si vous vous retrouvez dans la situation de Clémentine, souvenez-vous de son histoire. Ne laissez pas Lucas – ou n’importe quel agent immobilier – vous faire croire que vous n’avez pas d’autre choix. Gardez le contrôle, refusez l’exclusivité, et surtout, ne laissez personne vous priver de ce qui vous revient. Parce qu’au final, vendre votre maison, ça peut aussi rimer avec garder votre argent. Et si vous hésitez encore, ne vous en faites pas. La semaine prochaine, je vous dévoilerai comment vendre votre bien en toute légalité, sans stress, et surtout sans partager un seul centime de votre vente avec quelqu’un d’autre. Parce que vendre, ça peut aussi rimer avec liberté.
Tour de magie
Bienvenue sur Fred Klaps, la chaîne de magie pour tous ! 🎩
Rejoignez ma chaîne YouTube en cliquant ici et explorez tous mes secrets de magie.
Mes codes de parrainage🏦💹💱
Gagnez jusqu’à 130€ Cliquez-ici pour en bénéficier
Investir en bourse💱💲🪙
Cliquez sur le lien pour découvrir : Mon portefeuille en bourse
Ma liste de Livres 📕📖📚
Cliquez sur le lien pour découvrir : Les Livres Essentiels pour une Réussite Infaillible
Tu souhaites connaître la suite de ma belle semaine de musée !😍
Le mouvement crée le changement 🤫
N’oublie pas de t’abonner 🪄
Tu peux également laisser des commentaires (en bas de cette page) 📖
Je te dis à très bientôt et te remercie d’avoir rejoint « VoiSee Ma boite de Magie«
Voici le lien pour ma page Facebook [lien].
En tant que nouvel arrivant, je tiens personnellement à te souhaiter la bienvenue 😊
Fred Klaps
P.S. : N’hésite pas à partager ce lien ! 👍
En savoir plus sur VoiSee Ma Boite de Magie
Subscribe to get the latest posts sent to your email.
Hey Mamy ne regarde pas la page de décès
C’est tâta Rosanne qui regarde ça